Cette semaine, c’est le droitier des « Jaune et Bleu », Rabah Slimani, qui est le témoin de la semaine. Après la liste dévoilée par Jacques Brunel dont il fait partie en compagnie de 6 de ses coéquipiers, Rabah se tourne vers le Japon, sans oublier ses copains restés au club qui défendent les couleurs du club. Découvrez son humeur, avant de prendre, samedi, la direction du au soleil levant…

 

#Mood

« Très heureux et très fier de faire partie de ce groupe pour le Japon. Les trois matches de préparation ont permis d’apporter de la confiance à tout le monde. Nous étions partis sur une nouvelle méthode de travail et même si tout n’a pas été parfait, nous avons pu concrétiser certaines choses sur le terrain avec deux victoires sur trois matches : c’est une bonne base. La chose la plus positive est que nous adhérons à ce qui nous est proposé. Il faut maintenant continuer sur cette voie là pour aller le plus loin possible dans cette Coupe du Monde. Nous avons rendez-vous aujourd’hui à Marcoussis avant de nous envoler pour le Japon, samedi. Nous découvrirons, sur place,  le programme précis afin de nous familiariser avec le décalage horaire et les conditions climatiques particulières au Japon à cette période de l’année ».
 

#CoupDeCoeur

« C’est de voir le bon boulot que réalisent les copains, ici à Clermont avec cette première victoire à Bayonne. Ça fait bizarre d’être un peu à l’écart de ce groupe, mais ça fait surtout plaisir de voir les bons résultats qu’ils sont capables d’aller chercher dès ce début de saison. Je suis passé au club, hier, j’avais envie de faire un petit tour pour voir tout le monde avant de partir, ça fait du bien. Je ne suis pas le seul, nous étions 4 ou 5 Tricolores, ce n’est pas anodin ! »
 

#CoupDeGueule

« On a beaucoup parlé des incendies en Amazonie autour du G7, mais je n’ai pas l’impression que les actions soient menées pour enrayer ce drame écologique, ni que le Brésil soit très ouvert sur ce sujet. La destruction des forets est un drame et il n’est pas seulement localisé en Amazonie. Il existe également le même phénomène en Afrique dans la partie subsaharienne, autour du bassin du Congo, de l’Angola ou de la Zambie. Les dommages pour la planète sont les mêmes, mais le poids géopolitique est probablement différent. Bizarrement, l’attention est beaucoup moins portée sur l’Afrique dont les aides proposées seraient également les bienvenues… »

 

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